"Rien n'est aussi présent qu'une chose qui doit arriver mais qui n'est pas encore arrivée"
C'est sur ces mots que se termine le roman de Ongaro.
Le roman...oui, mais certainement pas cette partita.
Elle est sans fin cette partita !
Sur un seul et unique coup de dés, un jeune et bel héritier se voit proposer par une comtesse rouée au jeu de reprendre l'immense fortune familiale perdue au jeu à la diable par son père.
En cas d'échec, ce jeune et bel héritier abandonnera âme et corps à la noble usée.
En cas d'échec, ce jeune et bel héritier abandonnera âme et corps à la noble usée.
Il joue, perd et se parjure: il s'enfuit !
La comtesse lui lance aux trousses ses deux plus féroces limiers: les frères Podestà.
La partita de commencer.
Imaginer les ruses de l'ennemi pour mieux les déjouer et s'en réjouir.
Se délecter de ses victoires et à l'instant même douter: n'est-ce donc pas l'ennemi qui me donne du mou pour le plaisir de hausser le jeu, de renchérir ?
Tout serait-il joué d'avance?
Ainsi, seules compteraient donc les éphémères victoires, petites ou grandes ?
Seuls importeraient les bonheurs quotidiens, grands ou petits?
Tout cela ressemble furieusement à nos propres existences.
Lancinante partita que celle de Ongaro, avec des personnages comme lui seul en a le secret: une comtesse allemande, Mathilde von Wallenstein;
un vieux majordome, Mucamo;
Olivia, quatre fesses, deux paires de seins;
Virginio, patron du Pescatore del Trebbia;
un abbé fabricant d'improbables dentiers;
un prince, Federico Benvoglio Cerimonia, quatre-vingt-deux ans, et Carlotta sa très jeune épouse âgée de...quatre ans;
leurs fidèles serviteurs: deux colosses turcs, Bechir et Hadchiwad;
Luigi Lupino et sa troupe de théâtre;
Don Serafino le nain joueur...
un vieux majordome, Mucamo;
Olivia, quatre fesses, deux paires de seins;
Virginio, patron du Pescatore del Trebbia;
un abbé fabricant d'improbables dentiers;
un prince, Federico Benvoglio Cerimonia, quatre-vingt-deux ans, et Carlotta sa très jeune épouse âgée de...quatre ans;
leurs fidèles serviteurs: deux colosses turcs, Bechir et Hadchiwad;
Luigi Lupino et sa troupe de théâtre;
Don Serafino le nain joueur...
Que du beau linge pour vous inciter à entrer dans cette partita !
ce roman où semble entrer le fantastique et la philosophie a l'air passionnant. Je note les références.
RépondreSupprimerAuriez-vous des ennuis avec votre ordinateur? J'ai vu que vous aviez publié de nombreux essais, mais il s'affiche seulement "page introuvable". Est-ce normal?
Je vous souhaite une bonne soirée.
Anne
Peut-être quelques travaux de maintenance opérés par mon fils...
RépondreSupprimerIci tout semble normal.
Pouvez-vous atteindre la page ?
Je viens d'atteindre cette page, mais avant j'avais des dizaines de messages sur mon blog et qui portaient la même mention que pour Anne....
RépondreSupprimerOhlala!!! quel tourbillon de personnages monstreux ou fantastiques dans ton roman,tout à l'air d'être assez loufoque. Il y a une phot d'Olivia quatre fesses et deux paires de seins ? C'est le Satyricon de Fellini ???
Je te souhaite une bonne soirée
Danielle
Bern...j'espère que tout est rentré dans l'ordre !
RépondreSupprimerC'est vraiment pas mon truc, l'informatique! :(
Nul de chez nul ! :((