A Venise, j'ai mes fantômes...
En voici un.
Frederick Rolfe, le baron Corvo.
Envoûtant !
Un quatrième billet ...
Demain 6 février, débute à Venise le carnaval 2010.
Il y a un siècle, le 10 février, le Carnaval 1910 se termine sous des tornades de pluies. Tout a été gâché.
Le bal à la Fenice fut une merveille.
Le prix de 1,50 lire a dégoutté les indésirables.
Voici ce que nous dit une lettre du baron, datée du 10 février.
Beaucoup de Nobles ont donné des thés dansants et j'ai entendu dire que son Excellence le Duc des Abruzzes dansait comme un Archange. Je le tiens de deux princesses dévotes qui l'ont suivi de palais en palais tant elles avaient été subjuguées par sa grâce.
Je me suis querellé avec Zorzi parce que je n'ai pas voulu lui prêter ma cape rouge pour le Carnaval.
De terminer la missive:
Tout va aussi mal que possible.
A suivre...
Il était en effet fort beau. Merci pour ces extraits de sa correspondance. J'ai hâte d'en lire d'autres! S'il vous plaît, parlez-nous encore du Baron Corvo à Venise.
RépondreSupprimerAnne
C'est beaucoup mieux qu'un guide touristique. Bravo et merci.
RépondreSupprimerSouhaitons que celui de cette année soit ensoleillé !
RépondreSupprimerBienvenue, Béatrice, et merci pour votre gentil commentaire.
RépondreSupprimerOui Anne, j'espère mettre encore quelques billets concernant Frederick Rolfe...
Heureusement qu'il ne se déroule ni à Londres ni à Bruxelles, Danielle...
Quelle misérable grisaille par ici :(((
Dis, Stef* !... mon fantôme à moi, ce s'rait plutôt Ermenegilda dit Zildo ou Zilda que ce Nicolas Crabbe, surtout lorsqu'elle dit : "Sior, de grâce, détournez les yeux pendant que je quitte ces vêtements qui sont de vous..."
RépondreSupprimerBin oui ! à chacun ses fantasmes ! ;o))))))
C'est vrai que pour ceux qui ne l'ont pas lu...
Merci Albert(o)... Faudrait qu'un jour je me replonge dans la lecture entière de ce roman...;)
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup les ambiances d'un passé plein d'élégance que vous savez si bien restituer pour nous, merci.
RépondreSupprimerMarisol
Bienvenue parmi les anges, Marisol.
RépondreSupprimerIls apprécient votre commentaire... ;)
Le gris qui réveille les nostalgies. le gris qui met en valeur le ciel bleu, quand il revient. le gris qui va très bien avec le rouge.
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