Famille Marus, San Michele
Permettez-moi ce petit capriccio inspiré par les vers de HF Thiéfaine et ses "Suppléments de mensonge"...
Les yeux de Rimbaud et l'éther de Baudelaire étoilés des esperluettes de Shelley...
Sublime!
Les vers tourmentés d'Hubert Félix Thiéfaine et la famille Marus, pensionnaire de San Michele.
Etonnant cliché funéraire, fascinante poésie...
Je trouve cette photo très inattendue dans un cimetière et si touchante, votre billet m'a emplie de mélancolie.
RépondreSupprimerBonne journée Stef.
Cette photo est merveilleuse, Marisol.
RépondreSupprimerLes traits de la deuxième en partant de la gauche.
Peut-être un billet dans quelques temps.
Et la poésie de Thiéfaine...
Pas trop mélancolique, tout de même!?!
Merci pour votre passage ;))
Stef je suis d'accord avec vous ce visage magnifique et plein de vivacité m'avait aussi saisi le regard, j'attends avec impatience votre récit à son sujet. Quand à la mélancolie elle était d'une nature légère rassurez-vous. Très bonne journée.
RépondreSupprimerMe voilà rassurré! ;))
RépondreSupprimerBonsoir Stef,
RépondreSupprimerOui cette photo est à la fois très jolie, émouvante et troublante. 7 petites filles et un petit garçon, on dirait. Les trois premières seulement sourient... Elles sont jolies. Cet instant suspendu dans leur vie les immortalise à jamais sur leur pierre tombale. Un beau choix d'épitaphe, pas besoin de mots, le cliché parle...
J'ai reconnu, sur la vidéo, la très belle gisante dont vous parliez il y a quelques billets de cela...
Quant à la poésie de Thiéphaine, "la folie m'a toujours sauvé, elle m'a empêché d'être fou"
Merci pour cette découverte, je connais peu Thiéphaine.
Belle soirée,
Amitiés,
Nathanaëlle
Il s'agit bien de ... huit filles !
RépondreSupprimer"...ténèbres froides éléctriques & majestueuses...
...si partir c'est mourir un peu, j'ai passé ma vie à partir...
...& retourne à mon inconnu ..."
Et tant d'autres perles aussi raffinées les unes que les autres.
Bonne journée Nath ...
7 filles pour avoir enfin LE garçon, c'est quand même incroyable!!!
RépondreSupprimerStef*, j'ai compté moi aussi et je pensais que le tout petit bonhomme au bout était un garçon, enfin, mais non tu dis 8 filles ! La deuxième en taille a un visage très intéressant et je m'y suis arrêtée plus que sur les autres...tu dis que tu vas parler d'elle à Marisol.
RépondreSupprimerJ'aime S'Michele et ses images émouvantes et silencieuses.
Bon dimanche
Danielle
Détrompez-vous Enitram, ce sont bien huit filles, le dernier étant une dernière!
RépondreSupprimerBonjour Danielle, huit filles, la dernière répondant au prénom de Maria.
RépondreSupprimerPierina est le joli prénom de la deuxième...
Tout cela si la liste des prénoms correspond à la mise en place de la photo ... ;))
Stef, je pense que c'es tjuste une petite erreur de frappe : on dit une esperluette, c'est un signe typographique bien connu des imprimeurs, éditeurs, écrivains, bibliothécaires et autres libraires.
RépondreSupprimerj'oubiais : mes 7 nains t'envoient 7 esperluettes en cadeau !
&&&&&&&
Oups ! (rouge de honte)
RépondreSupprimerToutes mes ... confuses!
Bien vu Chantal!
En voilà au moins une qui suit ! ;))
L'affaire est corrigée ... :)))
avec l'arobase et le pied-de-ouche, redécouverts grâce à l'informatique, c'est un des plus beaux signes typographiques !
RépondreSupprimercontinue bine, moi je suis un peu en panne car trop prise par travaux et sortie de mon 4ème livre en ce moment.
oui enfin, mille excuses : j'aurais pu me relire avant de moi-même faire des fautes de frappe sur le commentaire précédent ! il fallait lire "pied-de-mouche", entre autres.
RépondreSupprimerbeau reportage, mais sais-tu si toute cette petite famille trapp vénitienne est morte en même temps ? la guerre, le choléra, un accident ? je trouve moi aussi la seconde fillette très frappante.