STABAT MATER
Debout, la mère ivre de douleur
Se tenait en larmes, au pied de la croix
Son fils succombant.
Je désire au pied de la croix
Me tenir, debout avec toi,
M'enchaînant à ta désolation.
Mon lapin!
Torse nu, Foulques Nerra...
Mon lapin! Comme tout ceci est étrange!
La bouche petite, la peau douce et claire...
Jamais je n'aurais pensé revoir ce travail!
Une religieuse...
Nemo me impune lacessit...
Le soleil tamisé qui colore tes joues...
Resserre les flancs...plusieurs voyages...
S'il apprenait l'infidélité...il en deviendrait fou...
Condamnés à mort!
But I see more...
Et toutes ces femmes...des morues accomplies...
Deux demi lunes...accouplées...
Tiens, voilà trois baisers...
Ton corps nu sous la soie m'a brûlé plus que jamais...
Dans la chambre à coucher...mort sur le lit...
Décapité sur ordre du pape...
Allez Coco! Sur mon épaule!
Salomé dormait déjà à poings fermés.
Sandre au beurre blanc, carpaccio de boeuf, risotto au barolo,
coda di rospo alla griglia, sgrupina et chinon devraient vous inciter
à rejoindre le prêtre roux et ce malgré Tirésias.
Au revoir, tante Berthe.
Prends bien soin de toi.
Le Rallye 2011-2012 du Campiello a commencé ce dimanche à 22 heures, c'est ici
Je suis ravie de te retrouver, Stef* !
RépondreSupprimerA bientôt j'espère !
Cela me fait autant plaisir, Norma!
RépondreSupprimerje vais avoir un peu plus de temps, maintenant... ;)
C'est bientôt Noël Stef ! Contente de te retrouver !!!!!
RépondreSupprimerMerci Enitram!
RépondreSupprimerLe deuxième semestre est toujours plus chahuté.
A presto ;))