Vivaldi
En écho au billet de Cothraige
Je retrouverai avec joie
L'âme de mon âme,
Le coeur de mon coeur,
Enivré de félicité.
Et si de l'être cher
Il me faut être éloigné
Je soupirerai chacune des secondes
Qui m'abîment.
Noctambule de Piccadilly, te souviens-tu de cette nuit du 11 juin 1814 ?
Te rappelles-tu les voiles blancs d’une petite chambre de l’Albany qui toute la nuit se lamentèrent à la lueur d’une famélique chandelle ?
Byron vide d’un trait mélancolique son verre de Brandy.
"A votre santé, Anne, ma vertueuse cousine !"
Au petit matin, le ténébreux poète la couche sur … le vélin.
"She walks in beauty…"
Je vous en propose ma propre traduction, bien fade, il est vrai...
Je vous propose ensuite l'écoute du texte original.
Et si le coeur vous en dit,
sachez la Toile regorger des plus diverses interprétations du poème du Pélerin...